En préparant un panorama de la littérature de jeunesse, je suis retombée sur une pépite : Histoire de Julie qui avait une ombre de garçon. Paru pour la première fois en 1976, il a été réédité l'année dernière.
Novateur, l'album posait la question de l'identité fille/garçon : Julie peut-elle revendiquer une part de masculinité dans son comportement ? Est ce que toutes les petites filles doivent être "modèles" à l'instar des héroïnes de Mme de Ségur ou de Martine ( je laisserai ici de côté le personnage de Sophie) ? Les garçons doivent-ils toujours être de gros costauds ?
Christian Bruel, avec la complicité d'Anne Bozellec pour les dessins démontre la complexité de l'enfant, sa quête d'identité, ses questionnements face à son individualité.
Cet album est une vraie bouffée d'oxygène à l'heure où les éditeurs nous refont le coup du "rose pour les filles,bleu pour les garçons".
Les filles peuvent jouer au foot, les garçons peuvent également pleurer
Novateur, l'album posait la question de l'identité fille/garçon : Julie peut-elle revendiquer une part de masculinité dans son comportement ? Est ce que toutes les petites filles doivent être "modèles" à l'instar des héroïnes de Mme de Ségur ou de Martine ( je laisserai ici de côté le personnage de Sophie) ? Les garçons doivent-ils toujours être de gros costauds ?
Christian Bruel, avec la complicité d'Anne Bozellec pour les dessins démontre la complexité de l'enfant, sa quête d'identité, ses questionnements face à son individualité.
Cet album est une vraie bouffée d'oxygène à l'heure où les éditeurs nous refont le coup du "rose pour les filles,bleu pour les garçons".
Les filles peuvent jouer au foot, les garçons peuvent également pleurer
Commentaires
Enregistrer un commentaire