Cette année, commémoration de la déclaration de la 1ère Guerre Mondiale oblige, de nombreux romans paraissent sur ce thème.
Premier roman lu et chroniqué par ici par ma collègue, le soldat Botillon en est un exemple pour témoigner de la vie dans les tranchées et du retour difficile à la vie civile des rescapés et notamment des gueules cassées.
Dans "le violoncelle poilu", Hervé Mestron, à travers les trois courtes nouvelles, aborde la guerre sous plusieurs angles. Toutes concourent à la dénonciation de la guerre.
- Dans la première nouvelle, c'est l'histoire incroyable de ce violoncelle, fabriqué à partir de planches mal équarries, surnommé "le poilu" et de son musicien.
- Dans la seconde nouvelle, ce sont les souvenirs douloureux du grand père mourant qui sont évoqués : né en 1915, il n'a pas connu la guerre, mais né d'un père allemand et d'une mère française, il a connu la haine de ses semblables. Incapable de parler de cet épisode douloureux avec son propre fils, il lègue son histoire à son petit-fils, qui deviendra gardien de sa mémoire et passeur à son tour.
- Enfin, la troisième nouvelle met en scène une baïonnette de guerre exposée dans un musée : celle-ci ne comprend pas l'intérêt, parfois morbide, que certains visiteurs lui porte. Parlant comme un être vivant, elle dit ses horreurs et le désespoir auquel elle a été confrontée. Sa remise en service pour une parade restera son ultime pied de nez à l'histoire.
D'une incroyable émotion, ces trois nouvelles retracent quelques moments de vie de "gens" normaux confrontés à une tragédie planétaire.
D'autres ouvrages jeunesse sur la 1ère guerre
- Pef / Zappe la guerre
- Fabian Grégoire / Lulu et la grande guerre
- Paule du Bouchet / Le journal d'Adèle
Avec de nombreuses ressources numérisées venant de tous les pays, le site du Centenaire est à visiter.
Un film à aller voir ou un livre à lire :
Premier roman lu et chroniqué par ici par ma collègue, le soldat Botillon en est un exemple pour témoigner de la vie dans les tranchées et du retour difficile à la vie civile des rescapés et notamment des gueules cassées.
Dans "le violoncelle poilu", Hervé Mestron, à travers les trois courtes nouvelles, aborde la guerre sous plusieurs angles. Toutes concourent à la dénonciation de la guerre.
- Dans la première nouvelle, c'est l'histoire incroyable de ce violoncelle, fabriqué à partir de planches mal équarries, surnommé "le poilu" et de son musicien.
- Dans la seconde nouvelle, ce sont les souvenirs douloureux du grand père mourant qui sont évoqués : né en 1915, il n'a pas connu la guerre, mais né d'un père allemand et d'une mère française, il a connu la haine de ses semblables. Incapable de parler de cet épisode douloureux avec son propre fils, il lègue son histoire à son petit-fils, qui deviendra gardien de sa mémoire et passeur à son tour.
- Enfin, la troisième nouvelle met en scène une baïonnette de guerre exposée dans un musée : celle-ci ne comprend pas l'intérêt, parfois morbide, que certains visiteurs lui porte. Parlant comme un être vivant, elle dit ses horreurs et le désespoir auquel elle a été confrontée. Sa remise en service pour une parade restera son ultime pied de nez à l'histoire.
D'une incroyable émotion, ces trois nouvelles retracent quelques moments de vie de "gens" normaux confrontés à une tragédie planétaire.
D'autres ouvrages jeunesse sur la 1ère guerre
- Pef / Zappe la guerre
- Fabian Grégoire / Lulu et la grande guerre
- Paule du Bouchet / Le journal d'Adèle
Avec de nombreuses ressources numérisées venant de tous les pays, le site du Centenaire est à visiter.
Un film à aller voir ou un livre à lire :
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